Halloween Horror Story & Prank Contest

C’est l’histoire d’un jeune homme qui se retrouve à une fête le soir, dans une grande villa, où il ne connaît personne.
Par hasard, il rencontre une jeune femme séduisante, tout deux se rapproche très vite. Mais sans qu’il ne s’en aperçoit, la femme introduit dans son une verre de la drogue.
Les deux inconnus d’aller dans sa chambre pour faire plus ample connaissance.
L’homme commençait à se sentir étourdi, il s’allongea sur le lit, la femme se déshabilla et commença à se mettre sur lui.
Ce dernier commençait à avoir une vision trouble, la tête de la femme l’effrayait énormément, elle avait une longue langue de serpent, sa tête était difforme, putrifiée et pleine de pustules.
Elle avait de grandes canines telles un vampire, elle lui mordit le cou, l’homme perdu connaissance.
À son réveil matinal, la chambre était dévastée, la femme était à côté de lui la bouche en sang, des cadavres gisaient sur le sol.
L’homme prit peur et partit rapidement de la villa, dans sa course il appela la police, arrivé au portail il s’évanouit de nouveau.
Puis, il se réveilla et vit les policiers, il leur cria de le suivre en les suppliant.
Il arrivèrent dans la villa et virent des cartons partout comme si la demeure venait d’être emménagé, l’homme n’en croyait pas ses yeux.
Il dit au policiers qu’il s’était fait drogué et agressé lors de la nuit dernière ici même.
Les policiers ne le cruent pas, une femme mystérieuse descendu les escaliers, c’était elle.
L’homme lui cria dessus et l’accusa devant les policiers.
La femme rétorqua qu’elle venait d’emménager le matin même et qu’il n’y avait pas eu de fête.
L’homme voulu montrer sa morsure en signe de preuve, mais elle avait disparu.
Les policiers le prirent pour un fou et l’emmenèrent avec eux. L’homme était totalement désorienté, il ne comprenait rien.
La femme, quant à elle, le regardait fixement avec un grand sourire diabolique.

Voilà mon histoire est finie, j’espère qu’elle vous aura plus :)

En entrant à 8 h, elle prit la brosse et alla effacer le tableau. La veuille, c’était une leçon de grammaire _ Quand deux verbes se suivent, le deuxième se met à l’infinitif _
juste en dessous, il y avait une autre écriture;
_ Quand deux fesses se suivent, la première se met à l’exécutif_
«Qu’es-ce tu fais Al hancou?» élève au cou gonflé qui se masturbait dans sa Djellaba. C’était Md Vasseur notre prof de français, elle s’habillait en jupe courte: « Arrête je te dis » Lorsqu’elle le tira par la cagoule, il ne pouvait plus s’arrêter. Le même scénario s’est produit dans une autre classe avec une prof arabe qui essayait d’imiter Md Vasseur dans son look. Plus gonflée avec une queue de cheval, elle ressemblait à Peggy la cochonne. Elle traîna l’élève qui ne voulait pas sortir «Je n’ai rien fait m’dame» jusqu’au bureau de la directrice. Une femme arabe ne peut pas se permettre de passer l’éponge devant ses élèves «avance bourriquot» en giflant et en tirant par les oreilles, un scandale contrairement à ce qui s’est passé avec Al hancou qui a bel et bien éjaculé sur la table. Sans ajouter un mot, Md Vasseur prit l’éponge et essuya la table, puis on a reprit notre cours de français. pour Al hancou, ce fut une aubaine, sa maîtresse était une européenne.

Alain avait apporté avec lui une radio cassette avec deux grandes baffes: «Qu’est-ce que tu vas faire avec ça ?» « On va rigoler, tu verras » « Je regrette, je peux pas venir avec toi ce soir ». Même quand la musique est bonne pour mon oncle, ce n’est jamais son truc. la musique et moi, nous nous sommes rencontrés. La musique et Alain, ça faisait deux. L’appel à la prière du matin diffère des autres avec cette phrase en + (la prière vaut mieux que le sommeil). Ce qu’on a entendu à travers les haut-parleurs de la mosquée, et surtout mon oncle qui ne rate jamais sa prière de l’aube: « Allah Akbar _ il n’y a pas d’autres dieux qu’Allah _ La prière rien ne presse _ reste en place _ allonge tes pattes et caresse les fesses »
un peu plus tard: «Jamais tu ne reverras ce fils de P… tu m’entends »
Jamais mon oncle ne m’avait parlé sur ce ton auparavant.